Note de T-E : au lieu de founir une traduction complète de cette article en deux parties (pensez à télécharger gratuitement l’extension google traduction pour une transposition automatique en français lors du chargement de la page) :
https://vexmansthoughts.wordpress.com/2017/01/20/was-gavrilo-princip-an-agent/
https://vexmansthoughts.wordpress.com/2017/01/24/was-gavrilo-princip-an-agent-part-ii/
Je relève ici juste le passage sur ce qu’on nous dit officiellement concernant les moments ayant précédés l’assassinat de l’archéduc François-Ferdinand et de son épouse. Je cite ici directement la page française (assez identique à la page anglaise) :
« Les sept conspirateurs n’avaient aucune expérience dans le maniement des armes, et ce n’est que par une extraordinaire succession de coïncidences qu’ils parvinrent à leur fin. Un premier attentat sur le chemin de l’hôtel de ville fit des victimes parmi la suite princière mais n’atteignit pas l’archiduc. À 10 h 15, le défilé de six voitures dépassa le premier membre du groupe, Mehmed Mehmedbašić, placé près de la banque austro-hongroise ; celui-ci n’osa pas tirer car, selon son témoignage, un policier se tenait derrière lui.
Grabez (1895-1918), Cabrinovic (1895-1916) et Princip (1894-1918)
Le deuxième membre, Vaso Čubrilović, laissa passer le convoi, craignant selon ses dires de toucher la duchesse. Nedeljko Čabrinović, lança une bombe (ou un bâton de dynamite, d’après certains rapports) sur la voiture de François-Ferdinand, mais, dans la précipitation, n’attendit pas les huit secondes recommandés pour la lancer : selon la légende, le prince, qui eut le temps de prendre la bombe dans sa main, l’avait jetée par terre ou selon d’autres témoignages, la bombe rebondit sur son épaule ; en réalité, la grenade rebondit sur la voiture du prince et atterrit sous la voiture suivante, l’explosion blessant gravement ses passagers (le comte Fos-Waldeck et l’aide de camp du gouverneur territorial, le lieutenant-colonel Merizzi), ainsi qu’un policier et plusieurs personnes dans la foule.
Čabrinović sauta dans la Miljacka pour avoir le temps d’avaler sa pilule de cyanure. Les voitures se hâtèrent alors vers l’hôtel de ville, et la foule paniqua. La police sortit Čabrinović de la rivière, et celui-ci fut violemment frappé par la foule avant d’être placé en garde à vue. La pilule de cyanure qu’il avait prise était vieille ou de trop faible dosage, de sorte qu’elle n’avait pas eu l’effet escompté.
De plus, la rivière ne dépassait pas dix centimètres de profondeur. Les autres conspirateurs, Cvjetko Popović, Gavrilo Princip, renoncèrent à agir, le cortège de voitures roulant désormais trop vite à moins que certains aient présumé que l’archiduc avait été tué. Le dernier conspirateur, Trifun Grabež, placé au niveau de l’hôtel de ville, renonça aussi, mal positionné en raison des mouvements de foule ».
Vexman : Comme on pouvait s’y attendre, ils sont représentés comme des bombardiers de guérilla maladroits, ratant la première tentative et alarmant la cible de leur présence. Je vous suggère de voir à quoi ressemble la rivière Miljacka, celle qui traverse la ville de Sarajevo. Souhaitez-vous y aller pour vous noyer après avoir pris une pilule de cyanure ? C’est une histoire ridicule. Mais ça ne s’arrête pas là :
« La tentative d’attentat était considérée par ses auteurs comme un échec. Après une visite houleuse à l’hôtel de ville (François-Ferdinand reprochant au bourgmestre qui l’accueillait Fehim Effendi Curčić : « Est-ce là l’habitude des Bosniaques d’accueillir avec des bombes ceux qui viennent pacifiquement à eux et de bonne foi ? », l’archiduc émet inopinément le désir de visiter les victimes de la bombe de Čabrinović avant d’aller déjeuner.
Le général Oskar Potiorek décide de changer d’itinéraire et en avertit l’occupant de la première voiture du convoi, le Dr Edmund Gerde, commissaire de la ville mais ce dernier omet de le signaler au chauffeur, qui s’engage par erreur dans l’itinéraire prévu initialement.
Lorsque le gouverneur militaire Potiorek lui ordonne de faire marche arrière, la voiture archiducale s’arrête au milieu de la foule. Le jeune Gavrilo Princip, placé devant le magasin Moritz Schiller’s delicatessen aperçoit, peu avant onze heures du matin, la voiture de François-Ferdinand qui passe près du pont latin.
Princip rattrape la voiture, puis tire deux fois : la première balle traverse le bord de la voiture et atteint la duchesse de Hohenberg à l’abdomen. La seconde balle atteint l’archiduc dans le cou. Tous deux sont conduits à la résidence du gouverneur, où ils meurent de leurs blessures quinze minutes plus tard ».
L’arrestation de Gavrilo Princip…
[Version anglaise] « Sur le chemin de l’hôpital, Loyka tourna à droite dans la rue Franz Josef. Princip se tenait près du café de Moritz Schiller lorsqu’il a aperçu la voiture qui passait devant lui, après s’être trompée de direction. Après s’être rendu compte de l’erreur, le conducteur a mis le pied sur le frein et a commencé à faire marche arrière.
Ce faisant, le moteur a calé et les vitesses se sont verrouillées, ce qui a donné à Princip l’occasion d’agir. Princip s’avança, sortit son pistolet, un FN modèle 1910, et à une distance d’environ 1,5 mètre (4,9 pieds), tira deux fois dans la voiture, frappant d’abord Franz Ferdinand au cou, puis sa femme Sophie au ventre, après avoir instinctivement couvert son corps. Ils sont morts tous les deux avant 11 h du matin. »
Vexman : Si je comprends bien, au lieu de prendre le premier train pour Vienne, entouré d’une centaine de policiers, de soldats et d’agents, Franz Ferdinand a décidé de rester pour voir son ami blessé. Mais même si vous considérez une telle idiotie du protocole de sécurité — puisque la vie de l’héritier du trône était en danger — comme cela est soit-disant réel, regardez la photo de l’itinéraire suggéré et vérifiez avec l’histoire — pourquoi le conducteur s’arrêterait-il quand il tourne à droite sur Frans Joseph Street et essaie de revenir au point de départ ? Quelle coïncidence de se faire tirer dessus au coin de la rue qui porte le nom de son père !
Le conducteur du véhicule de l’archiduc pouvait simplement tourner à gauche dans la rue Frans Josef et avancer dans la même direction qu’avant de commencer une telle manœuvre. Encore une fois, il y a l’héritier du trône à l’arrière, donc toutes les précautions sont prises par défaut. Dans quelle mesure est-il logique d’arrêter le véhicule avec une telle « cargaison précieuse » et de s’exposer en tant que conducteur avec la cible possible ? C’est absurde. Je suggère que l’arrêt de la voiture était un autre point de contrôle de l’événement, spécifié comme tel à l’avance.
Voyons si nous pouvons trouver des photos de Franz Ferdinand et de sa femme Sofia lorsqu’ils ont été tués ou blessés. Eh bien, pas de chance avec une telle recherche, mais nous avons quelques « preuves » de son assassinat présumé :
C’est l’uniforme taché de sang de Franz Ferdinand, c’est du moins ce qu’on dit. En ce qui me concerne, cela pourrait être l’uniforme de n’importe qui, taché de n’importe quel liquide sombre ou éventuellement de vrai sang humain ou animal. Mais si vous êtes aussi sceptique que moi, il y a une autre confirmation commode de la mort du couple royal :
C’est à peu près tout ce que l’on peut trouver comme preuve visuelle ou preuve que le couple royal a été abattu et assassiné par Gavrilo Princip.
T-E : ce court article s’arrête ici, je vous invite à lire un minimum les écrits de Vexman (analayse du procès, de photographies et généalogie) pour vous renforcer dans cette idée que l’assassinat présumé de l’archéduc François-Ferdinand, élément déclencheur de la première guerre mondiale préparée en amont plusieurs années auparavant, est un énième faux événement, une mise en scène.
Si vous n’êtes pas un lecteur régulier de ce type de recherches publié ici sur Canalurisme, vous penserez que tout ceci était malheureusement juste le fruit du hasard. Mais encore une fois nous avons suffisamment d’éléments nous indiquant qu’on a affaire à un faux.
Bien entendu nous avons des théories du complot nous expliquant que Gavrilo Princip et ses complices faisaient partis d’une organisation secrète « La Main Noire » et qu’ils étaient mandatés directement par les plus hautes élites dirigeantes du monde.
J’ai moi même repris un article là dessus en 2015 :
La « Main Noire » et le déclenchement de la Première Guerre Mondiale
Rappel des liens à consulter :
https://vexmansthoughts.wordpress.com/2017/01/20/was-gavrilo-princip-an-agent/
https://vexmansthoughts.wordpress.com/2017/01/24/was-gavrilo-princip-an-agent-part-ii/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_de_Sarajevo#L’assassinat
c’est incroyable , mais tout a fait possible , cela donne des frissons dans le dos .
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Au passage le fait qu’officiellement le commando serbe fut très maladroit, est pratique pour réfuter la version complotiste de base, du genre : « Si l’élite occulte était vraiment derrière cet assassinat, elle aurait engagé de véritables professionnels ».
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